VALSLOPPET 2

Dimanche matin, on prend les mêmes et on recommence ! Aujourd'hui, c'est un départ groupé alors qu'hier il était libre. Ce n'est pas une bonne idée, il y a un "coup de cul" à passer donc les moins costauds posent pied à terre et stoppent les autres, mais de toute façon, il faut enjamber deux barrières ! et c'est le bouchon pire que sur le périph aux heures de pointe ! Couchés dans l'herbe, on attend que ça se passe !

Nous partons enfin, les copains sont devant, ils démarrent trop vite pour moi. Sur un sentier, je dépanne un vététiste, je prends du retard et les autres s'inquiètent ! Dans un monotrace, je tords la patte du dérailleur ! Ce n'est pas mon jour ! Ce n'est pas non plus celui de David, qui tombe deux fois de suite ! une fois parce qu'il regarde les filles du CTAV et l'autre suite au freinage intempestif d'Olivier !

Le parcours du dimanche est plus vététesque que celui du samedi, il y a plus de monotraces, on sent ce je ne sais quoi, comment dire ? cette envie de vététiste de faire découvrir ses trésors à d'autres passionnés ! Vous me suivez là ?

J'ai perdu la troupe depuis un certain temps, je me trompe deux fois de direction avant le repas, lorsque j'arrive, ils sont prêts à repartir, seuls Dan et Hervé me tiennent compagnie. Pas pour longtemps ! on se perd de vue les uns les autres, on refait équipe au ravitaillement.

Ci-dessus, ce panonceau était accroché sur la cabane des chasseurs ! L'après midi se déroule mieux que la matinée, le diesel est chaud maintenant. On frôle le village de Montréal, avant d'aller batifoler dans les bruyères. 

Sur le retour une forte montée goudronnée nous guette ! mais ensuite, ce n'est que du pur bonheur, un sentier à flanc de colline serpente jusqu'à l'arrivée.

Je ne vous ai pas parlé de papy JP qui a préféré rouler seul et à son rythme mais que nous avons retrouvé à chaque étapes.

Je remercie chaleureusement Jean-Paul qui m'a donné une patte de dérailleur ainsi qu'Hervé et Olivier qui ont joué au mécano.

Et vivement la prochaine Valsloppet !!!